Vous trouverez ci-dessous toute une série de questions que vous vous posez surement (ou pas) concernant ce site ainsi que des réponses à des questions que vous ne vous êtes peut-être même pas (encore) posés (c’est ça la veille, … anticiper les besoins) !

Q : pourquoi avoir choisir comme nom de domaine olivierpommeret.com ?
R : parce que c’est mon nom et que je suis très narcissique. Plus sérieusement, comme expliqué sur la page d’accueil le nom de domaine avait principalement été choisi à l’origine dans le cadre de la construction et gestion d’une identité numérique mais aussi pour éviter qu’un homonyme serial killer l’achète et l’utilise pour monter un site vantant ses exploits (ce qui est peu probable vous me direz… Je parle de vanter ses exploits !). Avec le temps et l’évolution des algorithmes des moteurs de recherche, le nom de domaine a toujours une certaine importance dans le référencement mais pas autant qu’avant, le contenu, la manière de le présenter et d’autres choses plus techniques étant maintenant privilégiés. Cependant, mon nom n’a pas évolué donc j’ai souhaité ré-ouvrir le blog sous cette appellation, surtout que je ne traite pas que d’un sujet mais de choses très diverses qui n’avaient finalement en commun… que mon propre nom.

Q : pourquoi publier à la fois sur le site intelligence-personnelle.fr et ici ? Cela fait doublons sur certains sujets !
R : oui, c’est vrai… Sur le site intelligence-personnelle.fr je parle forcément (suspense…) d’intelligence personnelle !  Et j’en parle aussi ici. Mais je ne parle pas que de ça, et je ne me vois pas parler de musique par exemple sur l’autre site, surtout que nous sommes deux dans l’aventure, avec des goûts très différents (c’est d’ailleurs un des intérêts de s’associer). Il est donc fort probable que je ne publie sur mon blog personnel que des annonces renvoyant sur le site dédiée à l’intelligence personnelle lorsque ce thème est abordé. Pourquoi ne pas tout simplement ne pas évoquer le sujet ? Et bien car je souhaitais que mon blog soi le reflet de moi-même (ça fait beaucoup de “moi” tout ça, mais c’est souvent le cas dans un blog). Enfin, les choses peuvent évoluer, on verra.

Q : pourquoi avoir choisi une image en arrière plan montrant un ciel nuageux ?
R : parce que !

Q : alors que la plupart des blogueurs abandonnent leurs blogs pour publier uniquement sur les réseaux sociaux, pourquoi avoir choisi en 2019 de revenir sur ce format ?
R : sur la page d’accueil, j’ai commencé à expliquer tout ça, il s’agit avant tout de pouvoir partager des réflexions avec d’autres personnes, recueillir leurs remarques mais aussi pourquoi pas faire leur connaissance et échanger un jour en direct. C’est vrai que les réseaux sociaux permettent aussi d’échanger des idées, c’est même une de leurs vocations et c’est finalement ce que je propose de faire car pour le moment les commentaires du blog sont fermés, mais j’aime bien la possibilité de maitriser totalement l’outil de publication, en ordonnant les choses comme cela me semble être le plus logique, agréable à la navigation et surtout de prendre mon temps pour écrire. Sur les réseaux, y compris sur Linkedin par exemple, existe de part le flux une dynamique qui nécessite si on veut exister de publier très souvent… donc à moins de n’avoir que ça à faire, cela implique de faire des articles très courts, sans grande souplesse de mise en page, ou alors de se contenter de faire une phrase puis de donner le lien d’autres articles… que d’autres auront justement pris le temps d’écrire sur autre chose que des réseaux sociaux. Le besoin de ralentir (- + – = + !) fait que je me sens plus (+) à l’aise sur ce type d’outil pour publier. La dernière raison est que l’un n’empêche pas l’autre ! Donc pourquoi s’en priver ?

Q : est-ce que vous vous croyez drôle ?
R : non… (je me permets d’indiquer ici cette question qui m’a déjà été posée par ailleurs).

Si vous avez d’autres questions qui pourraient intéresser d’autres personnes, n’hésitez pas à me les soumettre via la section contact. Il est fort probable que cette page s’enrichisse d’elle-même, en fonction de mon “humeur”…